mardi 28 septembre 2010

Absence

Une nouvelle qui vous fera plaisir : je dois garder en confinement une fillette atteinte de varicelle. Vous ne me verrez pas jeudi et vendredi. Je sais que vous êtes tristes, moi aussi. En attendant, le blog est à jour, vous pouvez y lire des nouveautés et tester des liens.
mme Largenton

Les trois points de vue: synthèse

Voici une synthèse: lisez cette page puis naviguez page précédente et suivante pour revoir les trois points de vue.
http://fr.wikiversity.org/wiki/Point_de_vue/Point_de_vue_omniscientet
et une synthèse très claire:
http://lewebpedagogique.com/sroul/files/2009/12/LES-POINTS-DE-VUE.jpg

Bonne lecture.

les points de vue par l'image

James Stewart dans Fenêtre sur cour de Hitchcock. Dans ce film, immobilisé par une jambe cassée, il observe de chez lui tout ce qui se passe dans le bâtiment d'en face, tel un narrateur externe.



A voir ou à revoir pour bien comprendre comment le choix du point de vue détermine ou transforme un récit:
les Deschiens: http://www.youtube.com/watch?v=CnSHlk_xuPY
le reflet: http://www.youtube.com/watch?v=aoSqrP8BBoE
le homard: http://www.youtube.com/watch?v=1pqtu5dJIQ4
Maxicours: http://www.youtube.com/watch?v=9v9yNIcmA4M
Sergueï: foc interne: http://www.dailymotion.com/video/x7d1ln_la-seance-de-serguei-02-la-focalisa_fun.

Si vous trouvez d'autres liens intéressants, mettez-les en commentaires, svp.

le livre que lisait "la lectrice soumise". Textes d'élèves

Consigne: Imaginer la page gauche du roman que lit la lectrice soumise du tableau de Magritte. On est au 2/3 du roman , donc pas de début ni de fin, juste une histoire en cours propre à effrayer la lectrice.

"était oppressante. Tout autour de moi, des présences malsaines se faisaient sentir. Sur les murs, les ombres projetées par le feu de la cheminée se mirent à danser. L'une d'elle avait des formes humaines.
    Ca recommençait. Encore l'image de cette femme qui tendait la main vers moi en murmurant d'une voix vide: "Dany, je vais te tuer". Cette fois-ci encore, sa main gauche se posa délicatement sur mon épaule. Elle était si froide que je fus parcouru d'un long frisson. Ce fantôme qui me clouait à mon fauteuil me terrorisait. J'avais froid. J'avais peur. Sur les murs, au milieu des ombres menaçantes, des taches de sang avaient fait leur apparition. Mon attention se porta sur le fantôme qui me fixait d'un rgard charbonneux. J'étais pétrifié. Un sentiment de malaise s'empara de tout mon être. La femme fantôme plaça soudainement ses mains glacées sur mon cou. Je frémis. Elle afficha un large sourire sadique et commença à m'étrangler durement. Je la fixais, sans comprendre. Ma gorge se noua, je me mis à transpirer, lorsque je réalisai soudain que je la " Emma Bance - Laupenie.

"le corps allongé, mort par balle, au milieu du front. J'entendis un autre coup de feu dans la salle d'à côté. Je me demandai qui serait le prochain. Et si c'était moi! , pensai-je. Je décidai donc de m'enfuir de cet hôpital et le plus vite possible si je ne voulais pas mourir. Je courais au milieu des défunts en regardant sans arrêt de gauche à droite, de peur de me faire tuer.
  Je vis tout à coup un homme armé qui me visait au bout du couloir. Je me cachai dans une pièce à côté en essayant désespérément de trouver une issue pendant que j'entendais l'homme au pistolet venir vers moi. Je vis alors une trappe au plafond. Je pris vite une échelle, y montai, ouvris la trapps. Juste au moment où je passai la trappe, l'homme "                    Dorian Ferry.

mardi 21 septembre 2010

nouvelles à chute

http://nouvellesdelaseconde8.e-monsite.com/rubrique,continuite-des-parcs,433087.html

Voici un lien vers un site où vous pourrez lire quelques nouvelles étonnantes: Happy meal et Lucien notamment. Bonne lecture.

Texte de continuité des parcs

http://nouvellesdelaseconde8.e-monsite.com/rubrique,continuite-des-parcs,433087.html

la lectrice soumise



Regardez bien ce tableau et réfléchissez aux connections avec La Photographie et Continuité des parcs.

jeudi 16 septembre 2010

fin de la photographie, 4ème 5

   Quelques heures plus tard, la femme que j'avais reconnue me fit signe de la main pour que j'aille la rejoindre dans la photographie. J'hésitai. Tout à coup sa main sortit de l'image et tout mon corps se pétrifia. Avant que je ne puisse prendre la fuite, elle attrapa mon bras et me tira à l'intérieur de la photographie. Mes mains étaient moites et mes jambes se mirent à trembler. Après le bras, elle attrappa mon cou. Je voulais m'enfuir de peur que ma dernière heure soit arrivée. En vain.
  Elle me vola juste un baiser et me repoussa à l'extérieur de la photographie.    Piveteau Justine.


Le 16/10/69
   Lorsque je vins sur les lieux du meurtre, je vis le corps de ce pauvre homme déchiqueté de plombs. Ceci me fit froid dans le dos. La dépouille n'était plus que de la charpie. Mais qui avait pu faire preuve d'une telle barbarie? Aucun indice ne m'aidait à répondre aux questions que je me posais. L'assassin ou plutôt le psychopathe qui avait fait cela n'avait laissé aucune trace. La seule possibilité, à cause de la position du corps, était qu'une personne soit sortie de la photographie accrochée au mur pour l'assassiner. Mais c'était imposible !

Le 22/11/69
  Encore une victime! Même calibre, même immeuble et encore ce sentiment d'oppression qui règne dans la pièce. Mais ... ne serait-ce pas la même photographie que chez le mort du troisième étage?

Léo Piacentino


   Le lendemain matin, un voisin me raconta ce qu'il avait vu: "Tout à coup, une femme sortit de la photo, ils se regardèrent un moment et la femme le tua facilement tellement il était pétrifié.
- Merci beaucoup", lui répondis-je.

   En tant que commissaire, je décidai de résoudre cette énigme. J'affichai donc cette photo dans mon salon. Quelques jours plus tard, alors que la femme avançait sur la barque de jour en jour, elle sortit de la photo et je lui sautai dessus pour la désarmer. Je lui pris son arme et la menottai.

  Le lendemain, par précaution, j'allai jeter la photo dans une poubelle loin de chez moi.

Dorian Ferry

   Tous ces souvenirs qui se bousculaient dans ma tête me donnaient des vertiges. Les jambes tremblantes, je me dirigeai vers ma chambre. J'eus beaucoup de mal à m'endormir, j'étouffais. Je finis par tomber de sommeil.

   Le lendemain, je me dirigeai d'un pas décidé vers la photo, et j'aperçus avec horreur que le canon du fusil était sur ma tempe. Je fermai les yeux......

   Je me réveillai soudain dans mon lit, pétrifié, en sueur. Je me levai, allai dans le salon et constatai une grande déchirure sur la photo. La gorge sèche, le coeur battant, je me retournai.

   Elle était là, son fusil braqué sur moi. Son visage était illuminé d'un sourire sadique. Sans demander son reste, elle tira.

Bance-Laupenie Emma

fin de la photographie 4ème 2

   La barque avançait si bien que je distingais ses moindres détails. Son visage qui ne montrait aucune expression changea: un sourire se dessina. Dans ses yeux, si froids, apparut une étincelle d'amusement. Comme si elle riait de ma peur qui se transforma en terreur, en panique totale. Puis elle leva son fusil.

   Elle était là. Face à moi. Je ne pouvais plus bouger, et à chaque seconde, son sourire narquois s'élargissait. Elle allait tirer. Mais avant, elle voulait faire durer ce moment. Elle se délectait de ma terreur. J'allais mourir. Elle le savait. Elle appuya sur la gâchette et le noir m'envahit.

   L'inspecteur trouva que la mort du jeune homme était horrible. En effet, il avait le visage défiguré par la terreur, il baignait dans son sang, une balle dans le coeur.                   Chaubard Perrine.


  Ce qu'elle voulait pour se venger c'était que je sois fusillé dès qu'elle le pourrait. Elle le voulait si fort que l'on pouvait le ressentir à travers la photo.
 
  Cette aura meurtrière, sa nature criminelle, son caractère si sauvage et barbare, tous ses défauts remontaient en elle dans ses yeux ...des yeux de démon!

  Armée de son fusil démoniaque à l'oeil sanguinaire, elle sortit de la photographie, se stabilisation en position de mire, me visa la tête avec son fameux fusil maléfique.

  Elle appuya sur la détente et ...  (le texte se termine par une grosse tache d'encre noire)

Wentzinger Steven.

mardi 14 septembre 2010

Magritte

Imprimer pour le cours une reproduction d'un tableau de Magritte René qui vous intrigue.

vendredi 10 septembre 2010

Evaluation sur le brevet

Avez-vous bien écouté nos cours qui avaient pour objet de présenter l'épreuve? Vous avez tout intérêt à les relire pour préparer sereinement l'évaluation notée du lundi 13. Cordialement. Mme Largenton.

vendredi 3 septembre 2010

Lecture cursive obligatoire 4ème 2

Vous devez vous procurer la nouvelle Nantas d'Emile Zola. (Allez sur votre page pour les détails).

Lecture cursive obligatoire 4ème 5

Vous devez vous procurer la nouvelle d'Emile Zola appelée Nantas. Le texte est disponible sur Wikisource. Imprimez-le et mettez-le, une fois lu, dans votre cahier. Si vous préférez vous procurer le livre, il existe en Carré Classique.

Lecture cursive obligatoire 3ème 2

Procurez-vous Pauline d'Alexandre Dumas en Folio classique.




Code isbn: 9782070412303. A avoir lu pour début octobre.



Version audio disponible mais texte indispensable en cours.

Lecture cursive obligatoire 3ème 4

Le collège vous prête pour un temps déterminé Boule de Suif de Guy de Maupassant. Vous devez avoir fini sa lecture pour début octobre et ramener le livre en classe.