Quelques heures plus tard, la femme que j'avais reconnue me fit signe de la main pour que j'aille la rejoindre dans la photographie. J'hésitai. Tout à coup sa main sortit de l'image et tout mon corps se pétrifia. Avant que je ne puisse prendre la fuite, elle attrapa mon bras et me tira à l'intérieur de la photographie. Mes mains étaient moites et mes jambes se mirent à trembler. Après le bras, elle attrappa mon cou. Je voulais m'enfuir de peur que ma dernière heure soit arrivée. En vain.
Elle me vola juste un baiser et me repoussa à l'extérieur de la photographie. Piveteau Justine.
Le 16/10/69
Lorsque je vins sur les lieux du meurtre, je vis le corps de ce pauvre homme déchiqueté de plombs. Ceci me fit froid dans le dos. La dépouille n'était plus que de la charpie. Mais qui avait pu faire preuve d'une telle barbarie? Aucun indice ne m'aidait à répondre aux questions que je me posais. L'assassin ou plutôt le psychopathe qui avait fait cela n'avait laissé aucune trace. La seule possibilité, à cause de la position du corps, était qu'une personne soit sortie de la photographie accrochée au mur pour l'assassiner. Mais c'était imposible !
Le 22/11/69
Encore une victime! Même calibre, même immeuble et encore ce sentiment d'oppression qui règne dans la pièce. Mais ... ne serait-ce pas la même photographie que chez le mort du troisième étage?
Léo Piacentino
Le lendemain matin, un voisin me raconta ce qu'il avait vu: "Tout à coup, une femme sortit de la photo, ils se regardèrent un moment et la femme le tua facilement tellement il était pétrifié.
- Merci beaucoup", lui répondis-je.
En tant que commissaire, je décidai de résoudre cette énigme. J'affichai donc cette photo dans mon salon. Quelques jours plus tard, alors que la femme avançait sur la barque de jour en jour, elle sortit de la photo et je lui sautai dessus pour la désarmer. Je lui pris son arme et la menottai.
Le lendemain, par précaution, j'allai jeter la photo dans une poubelle loin de chez moi.
Dorian Ferry
Tous ces souvenirs qui se bousculaient dans ma tête me donnaient des vertiges. Les jambes tremblantes, je me dirigeai vers ma chambre. J'eus beaucoup de mal à m'endormir, j'étouffais. Je finis par tomber de sommeil.
Le lendemain, je me dirigeai d'un pas décidé vers la photo, et j'aperçus avec horreur que le canon du fusil était sur ma tempe. Je fermai les yeux......
Je me réveillai soudain dans mon lit, pétrifié, en sueur. Je me levai, allai dans le salon et constatai une grande déchirure sur la photo. La gorge sèche, le coeur battant, je me retournai.
Elle était là, son fusil braqué sur moi. Son visage était illuminé d'un sourire sadique. Sans demander son reste, elle tira.
Bance-Laupenie Emma
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