jeudi 16 septembre 2010

fin de la photographie 4ème 2

   La barque avançait si bien que je distingais ses moindres détails. Son visage qui ne montrait aucune expression changea: un sourire se dessina. Dans ses yeux, si froids, apparut une étincelle d'amusement. Comme si elle riait de ma peur qui se transforma en terreur, en panique totale. Puis elle leva son fusil.

   Elle était là. Face à moi. Je ne pouvais plus bouger, et à chaque seconde, son sourire narquois s'élargissait. Elle allait tirer. Mais avant, elle voulait faire durer ce moment. Elle se délectait de ma terreur. J'allais mourir. Elle le savait. Elle appuya sur la gâchette et le noir m'envahit.

   L'inspecteur trouva que la mort du jeune homme était horrible. En effet, il avait le visage défiguré par la terreur, il baignait dans son sang, une balle dans le coeur.                   Chaubard Perrine.


  Ce qu'elle voulait pour se venger c'était que je sois fusillé dès qu'elle le pourrait. Elle le voulait si fort que l'on pouvait le ressentir à travers la photo.
 
  Cette aura meurtrière, sa nature criminelle, son caractère si sauvage et barbare, tous ses défauts remontaient en elle dans ses yeux ...des yeux de démon!

  Armée de son fusil démoniaque à l'oeil sanguinaire, elle sortit de la photographie, se stabilisation en position de mire, me visa la tête avec son fameux fusil maléfique.

  Elle appuya sur la détente et ...  (le texte se termine par une grosse tache d'encre noire)

Wentzinger Steven.

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