vendredi 4 février 2011

Réécrire la scène de dépit amoureux

Consignes: Vous êtes par 2. Vous avez avec vous la feuille de correction de cette rédaction pour vous guider. Sélectionnez le texte de l'élèves sur le blog. Copiez. Ouvrez un doc Word et Collez. Enregistrez tout de suite votre document en le nommant.
Après avoir lu le texte, faites les transformations qui vous paraissent nécessaires. Attention vous devez pour cela utiliser une police différente de celle du texte à réécrire pour que je me rende compte de vos transformations.
Lorsque vous avez terminé, vous signez de vos deux noms de familles. Vous enregistrez à nouveau (Ctrl+S) et vous imprimez. Attention, sélectionnez bien l'imprimante de la salle et n'imprimez q'UNE fois.
Bon travail.
Texte:
A revoir
Texte d’ élève






































































GERONTE, (énervé) : - Monsieur, vous m’avez demandé un entretien !

SGANARELLE, (intimidé) : - Oui.

GERONTE : - Et bien, parlez !

SGANARELLE, (en bégayant) : - J’aimerais …

GERONTE : - Alors ?

SGANARELLE, (reprenant son calme) : - J’aimerais épouser votre fille.

GERONTE : - Pour qui me prenez-vous ? Vous donner la main de ma fille ! A ça jamais !

SGANARELLE : - Mais pourquoi donc ?

GERONTE, (en ne sachant plus quoi répondre) : - Je ne vous donnerai pas la main de ma fille car … vous êtes trop petit.

SGANARELLE : - Mais ce n’est pas un problème.

GERONTE : - Ma fille aime les hommes riches.

SGANARELLE : - Mais j’ai beaucoup d’argent.

GERONTE : - Et puis elle préfère rester chez moi pour m’aider dans mes tâches ménagères.

SGANARELLE (en s’énervant) : - Vous ne serez donc jamais d’accord ?

GERONTE : - Pourquoi dites-vous cela ?

SGANARELLE : - A un moment j’étais trop petit, je n’avais pas assez d’argent …

GERONTE, (en s’énervant à son tour) : - Ne me parlez pas sur ce ton.

SGANARELLE : - Je vous parle sur le ton qui me convient.

GERONTE : - Diantre ! Pour qui vous prenez-vous ?

SGANARELLE : - Je me prends pour un jeune homme qui aimerait épouser une demoiselle qui est votre fille mais vous ne voulez pas me donner sa main pour des raisons que j’ignore.

GERONTE : - Morguène ! Je pars !

SGANARELLE, (parlant seul) : - Ah ! quel père garderait sa fille pour lui tout seul ? C’est une étrange affaire et que sa fille ne peut m’épouser. Sganarelle, Sganarelle, vous n’aurez jamais la main de cette jeune fille.




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